Après une flambée interminable, les prix n’augmentent plus. Un retour à la raison dû à la crise sanitaire et à la récession économique. Tour d’horizon.

Le nouveau confinement est intervenu dans un marché de la pierre déjà en voie d’accalmie depuis plusieurs mois. L’ascension des prix de l’immobilier est stoppée, mais la pierre garde tout son potentiel.

La conjoncture n’est pas des plus favorables pour les investisseurs locatifs. Mieux vaut redoubler de prudence, notamment face aux impayés de loyer qui flambent en raison de la crise économique.

Quel est l’impact de l’épidémie de Covid-19 et de la crise économique sur le marché immobilier à Paris et en Ile-de-France ? Comment évoluent les prix dans la capitale ? Quelles sont les villes ou il fait bon vivre en banlieue ? A quel taux peut-on emprunter ? Quel comportement adopter avant d...

Avec la crise du coronavirus et le report des élections municipales, la production de logements neufs s’est fortement réduite. Une situation qui pourrait pousser les tarifs à la hausse.

Pendant le confinement, les banques et les courtiers poursuivent leur activité. Mais les conditions d’octroi des prêts restent strictes, et emprunter sans apport est devenu mission impossible.

Ils étaient appréciés, ils sont devenus presque indispensables. Depuis le premier confinement, les balcons, terrasses et jardins se révèlent être le vrai plus de toute transaction à Paris comme en banlieue.

Selon une étude de l’Insee publiée en 2016, un quart des familles franciliennes sont monoparentales. Choix du lieu de vie, charges à assumer seul... pour elles la question du logement n’est pas simple. Mais leur situation n’est pas un frein à un achat immobilier.

Une offre de biens à des prix inférieurs à ceux de la capitale, une ambiance village, une bonne desserte en transports, mais aussi de l’eau et de la verdure : de nombreuses villes des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne offrent une vraie qualité de vie.

Il est trop tard pour rééquilibrer le marché dans la capitale. La pierre reste réservée à ceux qui sont déjà propriétaires ou ont la confiance des banques pour emprunter. Ainsi qu’aux acheteurs étrangers.

Les villes Bordeaux, Lyon, Grenoble et Montpellier ainsi que plusieurs intercommunalités d’Ile-de-France se sont portées candidates pour encadrer les loyers. Ce dispositif devra s’accompagner de construction de logements, selon la ministre Emmanuelle Wargon.

Retrouvez tous les articles de l’Obs pour connaître les dernières tendances immobilières dans la préfecture de Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, l’Aveyron et le Gers.

Mise à mal par la crise dans l’aéronautique, la Ville rose craint pour son attractivité. Pour rassurer les investisseurs, elle mise sur des prix moins élevés que dans les autres métropoles et un marché sain.

Dans la préfecture du Tarn-et-Garonne et les communes des environs, la recherche de biens a rarement été aussi forte. Fait nouveau, l’envie d’espace et de nature se traduit même par l’achat de terrains.

Aujourd’hui, le marché toulousain résiste à la crise sanitaire. Mais les premières mauvaises nouvelles sur le front social pourraient changer la donne.

Dans la préfecture du Tarn et ses environs, toutes les catégories d’acheteurs - locaux, Toulousains, Parisiens - sont attirées par le bel immobilier, notamment les maisons.

Dans toute la Ville rose et ses environs, profusion de mises en vente et multitude d’acheteurs maintiennent le marché à un bon niveau.

Les transactions ont repris comme avant dans la préfecture de l’Aveyron et dans l’ensemble du département. Avec même encore plus de dynamisme...

Pour les appartements à Auch comme pour les maisons à la campagne, la demande, qui a été forte à la sortie du confinement, semble aujourd’hui ralentir.

Retrouvez tous les articles de l’Obs pour connaître les dernières tendances immobilières dans la préfecture des Alpes-Maritimes, à Cannes, à Antibes, à Grasse et Mougins, mais aussi dans l’arrière-pays niçois, sur la côte varoise et sur la Riviera.

Le cœur de la ville bat désormais autour du port de plaisance, tandis que le quartier Notre-Dame qui abrite la French Tech est le secteur qui monte... mais les prix ne le savent pas encore

Les acheteurs hexagonaux ont investi le marché immobilier cannois, déserté par les Américains, les Chinois et les Russes à cause de la pandémie. Même si les ventes se font plus rapidement, il n’y a pas encore de hausse de prix notable.

Après le confinement, les acheteurs se sont rués sur la communauté d’agglomération Sophia Antipolis. Résultat : une demande soutenue et des prix en hausse. Mais les prévisions économiques freinent déjà certains projets...

Un peu en retrait du littoral, voilà deux communes qui ne manquent pas d’atouts. Mais pour en profiter il faut disposer d’un budget confortable.

Des villas à prix d’or, des paysages époustouflants et des acheteurs privilégiés qui profitent d’une relative accalmie des prix sont les ingrédients du panorama de l’immobilier sur cette frange de la côte méditerranéenne.