Je me suis demandé si ce n’était pas une mauvaise blague ou un chantage inconcevable : un bout de jardin à céder à la Ville du Cannet fera-t-il capoter la vente de sa propriété ?
Alors qu’elle devait signer la vente de sa propriété pour en acquérir une autre, Laure Lacrampe se heurte à une cession, pour un euro symbolique, d’un bout de son jardin à la Ville du Cannet, en vue d’élargir l’avenue Thiers.