Plusieurs attentats contre des opposants politiques nicaraguayens exilés au Costa Rica sèment la peur chez ceux qui dénoncent les dérives du régime des époux Ortega et Murillo. L’inaction du gouvernement costaricain accentue le sentiment de vulnérabilité.

   La Cour suprême costaricaine demande également la levée de l’immunité du ministre de la culture, Jorge Rodriguez.

   Ce pays d’Amérique centrale compte parmi les principaux producteurs de bananes, majoritairement à destination des Etats-Unis et de l’Europe. Très exposés aux pesticides, les travailleurs du secteur développent de nombreuses lésions et maladies.

   Le pays d’Amérique centrale s’aligne ainsi sur la position du Panama et du Guatemala voisins, alors que Donald Trump a fait part de sa volonté de chasser du territoire américain les migrants en situation irrégulière.

   Devenu un exportateur de cocaïne vers l’Europe, le pays d’Amérique centrale, destination touristique réputée, connaît une explosion de la violence.

   Dans sa conférence de presse hebdomadaire et télévisée, Rodrigo Chaves ne retient pas ses coups et ses injures contre les médias et les journalistes pointant ses erreurs.

   Issus de courants variés, dont certains se sont combattus, les opposants au pouvoir de Daniel Ortega et de Rosario Murillo s’efforcent de préparer une solution pacifique au régime sandiniste.

   Depuis le soulèvement de 2018, environ 800 000 Nicaraguayens ont quitté leur pays. Près de la moitié de ces exilés se trouvent aujourd’hui au Costa Rica dans des conditions précaires et récréent des réseaux associatifs et d’information fermés par le régime autoritaire de Daniel Ortega et de son ...

   Une marche des fiertés doit par ailleurs avoir lieu dimanche au Costa Rica. Cet événement a entraîné la chute de la ministre de la culture et de la jeunesse, Nayuribe Guadamuz Rosales, limogée par le président Rodrigo Chaves pour avoir accordé une reconnaissance officielle à l’initiative.

   Plus d’un demi-million de personnes ont traversé la forêt tropicale, en 2023, à la jonction de l’Amérique du Sud et de l’Amérique centrale. Malgré les dangers liés à la nature hostile et aux gangs armés qui y pullulent, cette route migratoire attire un nombre croissant de migrants venus du monde...

   Le succès (1-0) du Costa Rica contre le Japon, dimanche, à Al-Rayyan, rebat les cartes dans le groupe E. Les Allemands, qui avaient perdu contre le Japon et joueront contre l’Espagne ce soir, retrouvent miraculeusement un joker.

   Surnom, historique, joueur à suivre, calendrier, diffusion... tout ce qu’il faut savoir sur l’équipe du Costa Rica à la Coupe du monde 2022.

   Rodrigo Chaves, dont les opposants dénoncent les penchants populistes, a bénéficié du rejet des élites politiques traditionnelles au second tour de l’élection présidentielle.

   L’ancien président du Costa Rica José Maria Figueres - au pouvoir de 1994 à 1998 - affrontera un économiste au second tour, le 3 avril. Le parti du chef d’Etat sortant, Carlos Alvarado, a été laminé.

   L’ex-président José Maria Figueres se détache nettement avec 27,28 % des suffrages, selon le décompte de 77,64 % des bulletins de vote, annonce le Tribunal suprême électoral.

   Après deux ans de pandémie de Covid-19 et une détérioration de la qualité de vie, le petit pays centraméricain pourrait voir le retour au pouvoir des partis traditionnels après huit ans d’alternance de centre gauche.

   Les actuels défis mondiaux appellent à créer un système multilatéral plus agile, plus efficace et plus responsable, soulignent, dans une tribune au Monde , les présidents du Costa Rica, de l’Afrique du Sud et du Sénégal, ainsi que les premiers ministres de la Nouvelle-Zélande, de la Suède et de l...

   L’achat de produits pharmaceutiques reste un défi majeur pour des pays durement touchés par l’épidémie. D’autant plus que les Etats riches ont préempté une quantité astronomique de doses.

   Le nombre de cas de Covid-19 dépasse désormais 2,2 millions, dont la moitié au Brésil.

   En 2018, la Cour suprême avait déclaré inconstitutionnelle l’interdiction du mariage entre partenaires du même sexe, donnant au Parlement dix-huit mois pour modifier la loi, ce qui n’a pas été le cas.