Fondée en 1936, l’Association de journalistes du Salvador (Apes) est forcée à l’exil pour fuir les pressions du gouvernement autoritaire de Nayib Bukele. Le coup de grâce a été l’entrée en vigueur en septembre de la très controversée loi sur les agents étrangers .

  

   Un mémorandum promulgué par le ministère salvadorien de l’Éducation stipule que les élèves du pays ont désormais l’obligation de respecter des règles capillaires strictes. Une mesure justifiée par la nécessité de transformer l’éducation et de renforcer la discipline .

  

   Kilmar Abrego Garcà a, déporté par erreur au Salvador par le gouvernement Trump en mars dernier, avant d’être ramené et détenu en juin aux États-Unis pour trafic de migrants, est désormais menacé d’expulsion vers l’Ouganda.

   Mercredi 20 août, un mémorandum du ministère salvadorien de l’Éducation est en entré en vigueur, imposant aux élèves des règles strictes de discipline et d’apparence dans les établissements scolaires.

   Beaucoup plus court et moins détaillé que les années précédentes, le très attendu rapport annuel du département d’État américain sur la situation des droits humains dans le monde, publié mardi 12 août, a été drastiquement expurgé pour épouser la politique étrangère de la Maison-Blanche.

   Le Parlement salvadorien a voté, le 31 juillet, une réforme qui autorise à briguer un nombre illimité de mandats présidentiels. Une décision qui renforce le pouvoir du très autoritaire Nayib Bukele et alimente les craintes d’une dictature.

  

  

   Ce Salvadorien résidant légalement aux États-Unis se voit aujourd’hui inculpé pour trafic d’êtres humains, après avoir été expulsé par erreur. Kilmar Abrego Garcà a décrit dans des documents judiciaires ses conditions de détention dans la sinistre prison du Salvador ou il avait été envoyé.

   Délogées du centre de la capitale salvadorienne à la suite d’une décision municipale, elles sont des centaines à devoir relocaliser leurs étals dans des zones ou l’installation est onéreuse. Une mesure qui menace leur activité. Le média indépendant Factum est allé à leur rencontre.

   Le président du Conseil des ministres péruvien, Eduardo Arana, a annoncé ce jeudi 11 juin l’intention du gouvernement d’envoyer des prisonniers vers les mégaprisons salvadoriennes. Objectif, faire face à la surpopulation carcérale dont pâtit le pays.

   Après des mois de batailles juridiques, Kilmar Abrego Garcà a, Salvadorien de 29 ans expulsé par erreur par l’administration Trump en mars dernier, est rentré vendredi aux États-Unis. Mais pas en homme libre : il y sera jugé pour transport de migrants sans papiers .

   Au Salvador, la guerre contre les gangs menée par le président de la République, Nayib Bukele, frappe aussi les mineurs, à l’image de Gerson, 14 ans. Détenu pour une vidéo virale, il incarne les dérives de cette politique répressive, dénoncée pour les graves atteintes aux droits humains qui l...

  

  

   Le 23 décembre 2024, à la demande de son président, Nayib Bukele, le Salvador a levé l’interdiction de l’exploitation minière. Dans le hameau d’El Limón de Sensuntepeque, dans le nord du pays, William Lozano, propriétaire d’un terrain supposément riche en or, se dit prêt à le vendre. Une position...

   Le sénateur démocrate du Maryland, Chris Van Hollen, s’est rendu au Salvador pour y rencontrer Kilmar Abrego Garcà a, l’immigré salvadorien résident du Maryland expulsé par erreur puis incarcéré au Salvador en mars. L’homme est devenu le symbole des errements de la politique anti-migrants de Trump.